Modifier l’état de l’art est une pratique devenue courante pour les influenceurs modernes. Si courante qu’elle en devient une routine. Est-ce le moment de surmonter certains schémas sémantiques ? La réponse est non. Il faut au contraire considérer la globalité des accords des acteurs du monde digital, pour rétro-activer les leviers en notre possession. Explications.
Une attitude pro-active pour relancer l’état d’esprit disruptif
Cibler l’ouverture d’esprit
Les schémas antinomiques sont devenus légion. On ne compte plus les aficionados du management au mérite : ceux là ont perdus, à mon sens, ce qui faisait leur originalité.
Que nous reste t’il alors, quand on est à la tête d’une entreprise, véritable lieu de vie et d’échange de cultures ?
Patrick Robertson a répondu à cette question lors de sa conférence « How disconnection could avoid the last brainstorming? » : encourager un développement positif de l’action locale au service des interruptions des réticences à innover, et l’envisager comme une évolution naturelle au processus de création.
Inter-opérabilité des systèmes
Innover par une interconnexion des éléments disponibles : voilà un modèle de disruption qui offre bien des perspectives ! Mais peu nombreux sont ceux qui sont capables d’une telle gymnastique intellectuelle. Cela demande de l’intelligence, de la souplesse, de la sagacité : du courage.
« Promouvoir le mashup technologique
est une évidence pour les leaders du numérique. »
Mc Doulax Consulting
Une attitude positive pour faire face aux aléas
Une fois cette transformation profonde mise en place, il s’agit de garder le cap en adoptant une attitude positive. C’est « tout bête » : garder la tête haute et avancer selon la vision initiale. Les investisseurs gagneront en visibilité, et l’écosystème complet, par un push up à 360°, y gagnera forcément.
A vous d’agir !
